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L’amour est blessé par les mots des chansons qui portent la folie (Melchior Liboà)
Haw non, y’a pas si longtemps
Nous étions encore si proches
Plus proches de la peau que les os
J’aimais t’entendre dire des trucs
Maintenant ta voix résonne comme
Une maladie honteuse
J’adorais danser sur toi, Pussycat
J’adorais danser, j’adorais
Haw non, j’ai plus de chips
Tu me donnes le pire
Et qu’elle soit blonde ou pas
Ca change quoi ?
J’aime vraiment pas les coquilles
Que certaines personnes laissent trainer
Je n'ai pas le temps pour ça.
J’adorais danser sur toi, Pussycat
J’adorais danser, j’adorais
J’adorais danser sur toi, Pussycat
Solo
J’adorais danser sur toi, Pussycat
J’adorais danser, j’adorais
J’adorais te parler les mots
Les mots des chansons qui font mouiller les filles
J’adorais danser
J’adorais, j’adorais
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L'amour fou
03:30
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L’amour fou (Melchior Liboà)
Au-delà du désert il y a
Des océans de vert
Ha ! Egaler nos destins
Dans leur lumière tiède
Je boirai comme un trou
Et le cerveau embrumé par les poudres
Je jouerai mes derniers dollars et mes illusions
Dans des machines truquées
Et toi, toi tu seras mon amour
Le seul, mon amour fou
Et si l’âme se lasse
Puisque tu n’en as jamais assez
On ira où
La nuit tombe en tremblant
Là où se mirent
Dans l’eau vitreuse des marécages,
Les âmes noires
Balancées par le vent
Et toi, toi tu seras mon amour
Le seul, mon amour fou
Et toi, toi tu seras mon seul amour
Mon amour fou, fou à lier
Ha ! M’asseoir au bord du bayou
En attendant la nuit
Et te regarder mouiller
Le bâillon de soie
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3. |
Bière mexicaine
02:49
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Bière mexicaine (melchior liboà)
Pas toujours mais parfois
Je me souviens de ça
Après ton service
Dans ton t-shirt « Elvis »
On buvait à la bouteille des bières mexicaines
En regardant le soleil se lever sur la plaine
Tu portais ton sourire
Comme une robe d’été
Sans rien dessous
Et le vent du matin dans son oraison
Faisait s’envoler au loin les réponses sans questions
On buvait à la bouteille des bières mexicaines
En regardant le soleil se lever sur la plaine
Pas toujours mais parfois
Je me souviens de ça
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4. |
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5. |
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Melchior Liboà - Quand les filles se dérobent
Je ne me lasse pas du spectacle des filles qui se dérobent par surprise
D’un seul coup d’œil
Elles offrent à la lumière
La dentelle dont elles
Ont recouvert at home
Leur soi-disant mystère
Leur origine du monde
Un tissu de mensonges cousu de fil blanc
Comme je dis que je les aime
Comme dans les chansons que tu fredonnes
Où te me fais penser à Marilyn
Simulant la confusion
En ces temps de réflexion
Celle-ci est une prison ouverte aux 4 vents
Celle-là est un mirage
Celle-ci est une île au trésor enfoui dans l’épaisseur des parfums coloniaux
Je les connais
Elles viennent d’une autre époque
Mon cœur s’enivre à leur seule évocation
Le reste,
L’odeur dans le vent
La voix de granit
Les caresses sont un cadeau, oui
La peau, oui
Et le reste
Mais il y a un temps pour tout
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L'amour saoul
03:15
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L’amour saoul (melchior Liboà)
C’est sûr elle n’a plus vingt ans
Je sonne sa porte de temps en temps
C’est déjà mieux que rien
Elle dit qu’elle m’aime quand elle est saoule
Tu vois je ne suis pas si seul
Pas si seul au fond
Personne ici ne sait vraiment c’qu’il pense
Personne ici ne pense vraiment c’qu’il dit
Personne ici ne dit vraiment c’qu’il pense
Mais tout l’monde tape dans ses mains
Elle dit qu’elle m’aime quand elle a bu
Je sonne à la porte de son cul
Une bouteille à la main
Dans ce train qui nous mène nulle part
On joue à perdre la mémoire
Le diable l’emporte
Personne ici ne sait vraiment c’qu’il pense
Personne ici ne pense vraiment c’qu’il dit
Personne ici ne dit vraiment c’qu’il pense
Mais tout l’monde tape dans ses mains
On n’ira pas chercher plus loin
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